COMMENT DONNER DU SENS A SA VIE

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DONNER UN SENS A SA VIE

Heureusement, la question du sens de notre existence ne nous taraude pas chaque jour, d’ailleurs, quand nous avons commencé à parler de ce dossier entre nous, certains ont avoué : »Moi, je n’y pense jamais ! » Il n’empêche.
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Il y a des moments où, poussée par les événements, parle besoin de prendre du recul, nous nous interrogeons : « Pourquoi, pour qui je vis ?
 Que faire pour que ce temps sur terre vaille vraiment la peine ? »

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A chacun ses réponses, son rapport au quotidien, à la transcendance.. Que toutes ces pistes vous aident à trouver les vôtres, pour vivre encore plus intensément.
La vie avant tout.
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La foi et les idéologies ont aidé les générations passées à supporter le sentiment de vide qui nous guette.
 Aujourd’hui, pour faire taire le « à quoi bon..
Chacun son chemin.
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Face au caractère parfois de l’existence, chacun à sa propre stratégie. Des écrivains nous révèlent les leurs, aussi variées que leurs personnalités. Des anonymes apportent également leur version.
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La guérison par l’essentiel
Pour se libérer de ses souffrances, rien de tel que de se reconnecter à ses priorités.
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 C’est le principe fondateur de la logo thérapie.
Sans les autres, il n’y a pas de sens.
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S’entretenir avec les autres et la lecture, est toujours une découverte. Ses différents niveaux, éclairent chaque question d’aspects inattendus.
Qu’est-ce que le sens ? Où s’enracine-t-il ? Comment perd-on..

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PERSONNALITE
Apprendre à se connaître, à comprendre sa personnalité, ses réactions, ses ressentis, ses blocages, c’est une autre façon de grandir et de profiter pleinement de sa vie.
Je fuis les responsabilités : à force de fuir les attaches et les décisions, ils passent pour lâches, infantiles, égoïstes.
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Je ne supporte pas de rester seul : pour certains, solitude est synonyme de sérénité et de maturité, pour d’autres, de tristesse et d’abandon.
Avez-vous peur d’être abandonné : isolement, agressivité, suractivité.. Et si, sans le savoir, vous étiez victime du syndrome d’abandon ?
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Faut-il croire nos souvenirs d’enfance : cette scène a-t-elle eu lieu ? cela s’est-il vraiment passé comme je m’en souviens..
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Les anomaux nous aident à nous redéfinir : plus on les connait, plus on comprend notre place dans le monde vivant.
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L’humour, en avoir ou pas : pour être apte à la dérision, un léger fond dépressif, une tendance à la culpabilité, une agressivité..
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La morphopsychologie : deviner notre personnalité sur les traits de notre visage, ça fait sourire, pourtant, utilisé à bon escient.
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Perfectionniste, pour le meilleur ou le pire : qu’elle soit le signe d’un égo exacerbé ou d’une névrose plus profonde, l’obsession de la perfection est ..
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Notre intuition s’y fier ou s’en méfier : une force irrépressible, une voix intérieure, une certitude inexplicable, les manifestations de l’intuition sont multiples.
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Oseriez-vous voyager seul : quel que soit son âge, en France ou à l’étranger, bourlinguer en solitaire confronté à ses peurs.
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DONNER UN SENS A SA VIE PROFESSIONNELLE ET PERSONNELLE

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Mener de front vie professionnelle et vie personnelle, c’est le défi de la plupart d’entre nous.

 Même en courant toute la journée, toute la semaine, toute l’année, nous n’avons pas assez de temps pour tout faire.

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 Voici les 10 clés pour comprendre pourquoi nous menons une vie de fou… et surtout pour donner un sens à cette course haletante.

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1 Reconnaître que le travail a pris une place démesurée. Pressions, réunions, embouteillages..
 Répétition quotidienne d’une course contre la montre.
Fatigue, migraine, insomnie..
 Pourtant, nos grands-parents abattaient des journées de 12 à 15 heures sans flancher.
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 Sommes-nous devenus de « petites natures »

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2 Donner du sens à notre vie et à notre travail. On travaille pour une entreprise, pour un salaire, pour une promotion, pour payer l’hypothèque, pour faire vivre ses enfants, pour acheter une piscine.
 On travaille pour ..
La carotte au bout du bâton.
 Une drogue dont le dosage doit sans cesse augmenter.
On fonctionne par stimuli-réponse, comme chien de Pavlov.
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Et on finit-comme le chien de Pavlov ! par ne plus sentir le choc électrique, aussi intense soit-il.

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3 Réajuster notre relation au temps. Technologie, facilite-moi la vie !
 Prière entendue, mais promesse à moitié tenue.
 Car l’efficacité à un prix, celui de la disponibilité.
 Boîte vocale, pagette, cellulaire, courrier électronique ; il faut répondre immédiatement.
 Au travail, en auto, à la maison. A toute heure du jour et de la nuit. Aux oubliettes, la »jasette » avec le voisin, il faut appeler subito presto le client paniqué ou la belle-mère organisée.
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 Pas moyen de décrocher, dans les deux sens du terme.

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4 Apprivoiser le méchant loup.. qui est en nous. Animal, nous sommes et resterons. Pour tout être vivant, le stress est le réflexe de défense devant la menace.
 Hier, le loup, aujourd’hui, la crainte de perdre son job, sa femme, sa maison, ses enfants, sa collection de disques, alouette !
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 La crainte la plus lancinante ne vient pas de l’extérieur, mais de l’intérieur, c’est souvent notre propre peur de ne pas atteindre nos normes de performances.

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5 Apprendre à supporter l’imperfection. Et si on transformait nos machines à performance en machine à tolérance ?
 Si on apprenait à doser nos occasions de stress, à être moins parfaits ?
 Si on acceptait de reporter et de choisir, autant les obligations que les plaisirs ?
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 Et si on se donnait l’obligation de se reposer..

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6 Etre plus critique avant de dépenser
Avant, on se servait des restes d’un bouilli de bœuf pour faire du pâté chinois.
 Qui fait ça aujourd’hui ?
 On dédaigne cette platée du pauvre au profit de mets plus raffinés. Hé quoi ?
 Ne travaillons-nous pas assez fort pour mériter des brochettes marinées ?
 Pourtant, toutes les dépenses ne sont pas inéluctables, on peut revoir ses choix.
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 Il est souvent possible de se priver temporairement d’un plaisir plutôt que de s’endetter pour obtenir une satisfaction immédiate..

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7 Passer à l’action au lieu de ruminer
Gérer son stress, c’est aussi se donner les moyens d’agir.
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 En passant à l’action, on rumine moins, 15 minutes après s’être plongé dans le dossier qu’on repoussait depuis plusieurs jours, on se découvre une énergie insoupçonnée.

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8 Exercer notre corps pour aiguiser notre conscience
C’est bien connu, le sport réduit le stress et favorise la détente.
 Plus encore, le simple fait de penser à la pratique d’une activité physique serait suffisant pour provoquer un impact positif.
 L’activité physique donne des ressources pour mieux affronter les situations de stress.
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 Elle permet d’évoluer à un niveau de pensée supérieur, d’ouvrir les perspectives.

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9 Partager le plaisir de vivre
On a moins peur du loup lorsqu’on est dix à l’affronter, la clé, s’entourer de gens aptes à offrir du soutien.
 Nourrir les relations précieuses.
S’approcher de tout ce qui peut s’avérer protecteur. Au quotidien, on prend le temps de s’informer de la santé de sa collègue, de passer chez son meilleur ami, voire de gratter les oreilles de son chien !
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 Nous sommes des vivants et avons besoin des vivants.

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10 Changer de vie ? Stress, bum-out, épuisement professionnel, dépression, fatigue chronique, somatique, malade, émotive..
Notre vocabulaire s »est enrichi d’une flopée de mots évoquant notre crise existentielle.
 Face à cela, des penseurs et des gourous nous invitent à faire le deuil de l’idéal de surabondance de l’après-guerre et à adopter un art de vivre modelé sur la qualité de vie.
Simplicité volontaire, indépendance financière et autres approches ont toutes la même philosophie, le meilleur choix de vie est celui qui nous laisse un maximum de temps.
Changer de vie est-ce possible ?
 Oui, répondent sans hésitation les spécialistes, à condition d’en faire une affaire personnelle.
 A chacun de prendre un moment pour trouver un sens à sa vie et chercher des solutions en vue d’adopter le rythme de vie qui lui convient.
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 Je pense qu’il faut s’arrêter pour réfléchir, même si on n’a pas le temps, surtout si on n’a pas le temps.
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