mardi 12 mai 2009

Y A-T-IL UNE VIE APRES LA MORT ?

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La vie après la mort.



Y a-t- il quelque chose après la mort ou n’y a-t-il rien ? Questions toujours posées et jamais résolues, questions fondamentales.

Dans la mort, la dissociation de ces deux consciences marquerait la fin réelle de la vie et le début d’autre chose, l’homme étant bien une dualité.

La vie après la mort ? C’est une question que tous les hommes se posent à un moment donné. Certains y répondent par la négative.

Il n’y a rien, ou bien, le trou, et puis plus rien après. Pourtant, à la fin de leur vie, après avoir vécu comme s’il n’y avait rien, ils se mettent à penser, qu’il y a peut-être quelque chose.

Nous sommes, poussière de terre et même poussière d’étoiles et souffle de vie ou même esprit vivant.

L'état intermédiaire entre la vie et la mort.

La mort incertaine.

Où commence la mort ?

La disparition de la conscience. 
 
La mort n'a rien de ponctuel ; ce n'est pas un moment, mais un processus qui est une transformation progressive composée de différentes étapes, où le seuil constituant le passage dans l’état définitif irréversible est très incertain.

Autrement dit, le fait biologique qui correspond au processus de la mort repose sur l'existence d'un état critique transitoire dont les limites temporelles demeurent incertaines.


La définition de la mort évolue constamment.
 Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparue le critère de mort cérébrale.

De sorte que l’on distingue aujourd’hui plusieurs types de mort :

Clinique, cérébrale, physiologique, biologique, etc.

Y aurait-il d’autres univers situés sur des plans différents de conscience, à d’autres niveaux de fréquences ? Si oui, la mort n’est alors qu’un passage d’un niveau à un autre.

Sur le plan philosophique, la mort reste par définition "l'état d'où l'on ne revient pas".

On peut considérer les organismes vivants comme de la matière non-vivante organisée de façon particulière mais tous les stades entre vie et mort paraissent exister.


La disparition de la conscience.

Les atomes qui constituent notre être ne meurent pas, ils passent d’une vie à une autre vie, d’un être à un autre être.

Il en est de même de toutes les particules élémentaires, et le rôle fondamental des électrons dans les processus du vivant.
Ces " Eons " auraient les caractéristiques de l’Etre :action, réflexion, connaissance, amour, capables d’acquérir des informations, ils seraient donc des consciences et seraient quasiment immortels.

Une fois qu’un être est mort, il se passe "quelque chose " : il " n’est plus là ", son regard est vide...

Le corps va disparaître ultérieurement, et ce corps était la seule matérialisation de l’être, la seule forme tangible d’existence. Mais cet être existait aussi par autre chose, son intelligence, son affectivité, sa " présence ".

On « sent » psychiquement et biologiquement la mort, et les animaux la sentent aussi : chez les primates, dès qu’un membre de la tribu est mort, il ne suscite plus d’intérêt pour le groupe qui, lui aussi, " sent " la mort.


La mort d'un être vivant est l'arrêt irréversible des fonctions vitales.

Cette définition biologique montre à quel point la science est dans l'impasse quand il s'agit d'expliquer la vie et la mort.
Nous ne pouvons que décrire « extérieurement » les manifestations de deux phénomènes qui en réalité nous échappent dans leur essence. Leurs causes profondes nous sont inconnues.


La définition de la mort évolue constamment.

Après l’arrêt de la respiration, puis la cessation des battements du cœur, est apparue le critère de mort cérébrale. De sorte que l’on distingue aujourd’hui plusieurs types de mort : clinique, cérébrale, biologique.
Dans le cas de la mort cérébrale, il y a arrêt des activités électriques du cerveau, mesuré par électroencéphalogramme, mais le corps peut continuer à vivre, par maintient artificiel des battements du cœur. 




Cela montre que la mort est plus que l'arrêt de l'activité biologique.

Quand un être meurt, quelque chose disparaît : il n’est plus là. Mais qu'est-ce qui n'est plus là ? Lorsque nous mourons, c'est aussi ce qui fait notre identité, c'est-à-dire notre personnalité, notre affectivité, notre présence, qui disparaît.

Qu'est-ce que la vie, en définitive ? La science est bien incapable en réalité de dire en quoi consiste la vie, quelle est la nature du souffle qui nous anime, d'où il vient et où il part lors de notre mort.

On est conduit à se poser la question : la mort est-elle un terme ultime à notre vie sur terre.

Ou n’est-elle qu’une étape dans une histoire de vie qui continue ? Croire en une autre vie après la mort est une exigence humaine qui fait la caractéristique de notre espèce.

Les Expériences de Mort Imminente (EMI).

Sont des témoignages racontés par des personnes que l'on croyait décédées, et qui sont revenues à elles par la suite.

Ces personnes disent avoir été au seuil de la mort et avoir entr'aperçu ce qu'il y a après. Il existe malheureusement peu d'études sérieuses sur ce sujet. La plupart du temps, c’est le scepticisme qui règne parmi les scientifiques.
Ils pensent que le cerveau, sous alimenté en oxygène, ou subissant des stress chimiques brusques, produit des images ou des fantasmes que rapportent ensuite les patients, croyant qu’ils ont vécu quelque chose de réel.
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3 commentaires:

  1. Dieu est Heureux , Dieu Veut que nous soyons heureux puisqu'il nous a conçu à son image ( c'est la raison pour laquelle on vit ) , la mort du corps physique " constitué d'atomes " n'est rien d'autre que la libération de ton Ame d'immortel , et avec ton ame d'immortel , tu pourras faire tout ce que tu avais voulu étant vivant , Ton subconscient réaparaitera pour te rappeler se que tu voulais , ton subconscient jugera donc ta vrai volonté !
    J'ai mes preuves pour dire tout sa , et je révèlerais tout dans mon blog ... :)

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  2. Excellent article qui va beaucoup m’aider.
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  3. Merci pour tous ces articles je vais me pencher sérieusement dessus!
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